Interview sur Radio Médecine douce :
La mission de vie comment s'y relier ?

Vous pourrez découvrir dans ce podcast sur notre mission d'âme issu d'une interview sur radio médecine douces :

 

  • La période de votre vie où votre mission d'âme a commencé à se révéler
  • Comment attirer les signes qui vont vous éclairer sur votre mission d’âme
  • Comment aider et inspirer les autres sans pour autant vous sacrifier
  • Peut on réaliser sa mission d’âme même si notre métier ne nous convient pas ?
  • Les épreuves sont elles inéluctables sur le chemin de notre mission d'âme ?
  • Peut- on oeuvrer pour sa mission d'âme en talon aiguille et en jolie robe ?
     

Cliquez ci- dessous pour écouter cette émission passionnante.

Retranscription de l'interview " La mission d'âme, comment s'y relier ?"

 

Nathalie : Alors aujourd'hui, on a le grand plaisir de retrouver une intervenante que nous connaissons déjà puisqu'elle est venue s'exprimer à l'occasion d'une émission sur le Guide intérieur.

Son livre « A l'écoute de votre Guide intérieur », est d'ailleurs disponible aux éditions Trédaniel.

Voilà, juste sa présence appelle les anges.

C'est vrai que je partageais ça avec elle avant de démarrer l’émission :  Les anges sont là, à ses côtés.

 Alors chère Sophie, pour te présenter aux gens qui te découvrent, tu accompagnes les personnes sur un chemin spirituel à se relier à leur Guide intérieur, à leurs Guides de lumière et à leur mission d'âme.

C'est justement de cette mission de vie dont nous allons parler aujourd'hui.

Alors est-ce qu'on est tous porteurs d'une mission ? 

 

Sophie :  Oui, nous sommes tous porteurs d'un projet, d’une mission, d’un élan de notre âme.

C’est un peu ce que j'appelle notre programme à la fois de guérison et d'évolution.

Je l'appelle la mission d’âme, mais beaucoup de gens peuvent avoir peur de ce mot dans le sens où on peut imaginer qu'il s'agit forcément d'une grande mission de vie , de quelque chose d'extraordinaire, de spectaculaire.

Alors que dans la plupart des cas c'est quelque chose de beaucoup plus simple.  

C’est vraiment partager au monde ce qui nous est le plus spécifique. Moi, c'est ce que j'appelle notre cadeau au monde.

C’est-à-dire d'abord notre essence, notre présence.  Mais également toutes les qualités et les talents qui sont spécifiquement les nôtres. Quand je dis talent, il se n’agit pas forcément d'être un virtuose, mais on a tous des capacités, des choses que l'on fait avec plaisir et avec plus de facilité que d’autres, et que l'on peut avoir envie de partager.

C’est comme quelque part la pièce du puzzle que l’on va amener dans cette grande création collective qu'est notre terre.

 C’est d'abord ça notre mission.

 

Nathalie :  C'est intéressant parce que le terme mission, en effet, comme tu le dis peut avoir un aspect grandiloquent, on peut imaginer tout d'un coup que ça parle d'un messie, d’une personne qui est venue révolutionner cette terre.

Alors, on peut tous révolutionner notre environnement, le chemin sur lequel on va justement avancer.

C’est très intéressant de déjà poser les fondements qu'une mission d’âme, ce n’est pas toujours d'avoir une influence immense sur l'humanité.

C'est déjà à son échelle de pouvoir commencer à faire évoluer les choses, à rayonner peut-être.

Parce que finalement, quand on est au cœur de ce qui nous fait du bien, de ce qui nous rend heureux, on fait déjà du bien aux gens qui nous entourent.

 

Sophie :  C'est exactement ça. Sachant que cet élan, on le porte et on peut comme tu l'as dit le rayonner.

C'est-à-dire que au-delà d'une action, notre mission d’âme peut être tout simplement d'émaner notre état d'être.

 Quand je vais simplement me permettre de cultiver en moi et à travers mon parcours, un état, par exemple de paix, ou un état d'émerveillement, ou de joie, d’accueil, et bien ça va pouvoir rayonner et je vais pouvoir inspirer d'autres personnes par ma seule présence.

C’est au-delà des mots et souvent c'est le plus puissant.

Quand je dis « au-delà des mots et par ma seule présence », cela peut être aussi par simplement à travers la façon dont je vais relever les défis que la vie m'offre ou la façon dont je vais pouvoir bien vivre mon quotidien.

 

Nathalie :  C'est intéressant ce que tu dis.  Il suffit d'avoir dans son entourage une personne qui fait face à la maladie de ses parents, ou décès d'un de ses proches, de manière inspirante. Simplement la manière dont elle laisse transiter les choses en elle, ça peut influencer positivement les gens qui l'entourent ?

 

Sophie :  C'est exactement ça. On ne se rend pas compte en fait de l’influence que l'on peut avoir dès lors que l'on a intégré certaines choses et qu’on les transmet naturellement.

Je donne un petit exemple : ça fait maintenant quelques années, j’avais à cette époque environ 30 ans, j'ai participé à un stage de développement personnel, c'était une semaine dans le sud de la France.  

Puis, un jour lors d'une pause, au bord de la piscine, on discutait entre « nanas » avec la prof.  

Elle nous dit comme ça « entre filles » qui papotent : « Quand j'ai eu 30 ans, je me suis dit qu'est-ce que c'est bien d'avoir 30 ans ! Je me sens tellement mieux que quand j'avais 20 ans. Et puis quand j'ai eu 40 ans, je me suis dit, c’est bien d'avoir 40 ans je me sens quand même beaucoup mieux que quand j'avais 30 ans.  Et puis j'ai eu 50 ans et qu'est-ce que c'est bien d'avoir 50 ans, oh là qu'est-ce que j'apprécie d'avoir 50 ans. ».

On entend souvent parler de paroles qui sont un peu comme des programmes négatifs qui nous sont inculqués. Comme cette cliente qui m’a raconté que son père lui avait dit enfant parce qu’elle avait perdu son argent de poche : « Mais comment veux-tu t'en sortir plus tard dans la vie si tu ne sais même pas garder ton argent de poche ? » . Quelque part ça l'avait toujours limité financièrement.

On appelle cela des «  injonctions négatives ».

Mais souvent on soupçonne moins l’impact que peuvent avoir certaines phrases simplement lancées comme cela, mais qui émanent de notre expérience et qui peuvent être « des injonctions positives ».

Parce que quand cette formatrice m'a dit ça, ça s'est intégré très profondément en moi.  

Je l’ai gardé en tête pendant des années.

Quand j'ai eu 40 ans j'y repensais et je me suis dit « mais elle a raison, je me sens tellement mieux à 40 ans que quand j'avais 30 ans ».

Et quand la cinquantaine a approché et bien au lieu d'avoir peur de cela comme beaucoup de mes amis qui appréhendaient l’arrivée des 50 ans, j'avais toujours cette phrase en tête et vraiment j'ai pu vivre ce passage avec joie.

 

Nathalie : Et tu as repensé à ce moment comme un ancrage positif.

 

Sophie : Exactement.

 

Nathalie : Tu te le remémores à chaque dizaine d'années que tu passais, c'est intéressant. Ce n’est pas seulement des êtres qui disent des choses  intellectuellement, mais qui le vivent.  Est-ce que c'est un petit peu ça ?

 

Sophie :  C'est exactement là qu’on peut avoir le plus d'impact et le plus de puissance.  C’est quand on rayonne ce que l'on vit ou qu’on le partage.

 Parce que quand on partage ce que l'on vit on fait pas la leçon aux autres, on n'est pas comme un professeur qui donne une leçon, c'est un partage naturel.   C'est là que l'impact est le plus grand.

 

Nathalie : Beaucoup de gens se posent la question d'aller vers leur mission d’âme. Pourtant pour beaucoup, ça semble être difficile parce qu'ils ne savent pas ce qui les passionnent, ce qui fait battre leur cœur, ce qui les font vibrer.  Alors toi ma chère Sophie, tu vas justement leur proposer à travers trois vidéos qui seront disponibles dès la fin de l'émission et que vous pourrez visionner gratuitement de se mettre au contact de ce qui a du sens pour eux,

Comment aider à cheminer ces gens qui ne savent même pas ce qui dans la vie les rendent heureux ?

 

Sophie : C’est vrai que beaucoup de personnes ont du mal à sentir leur mission d’âme, parce que pour être en contact avec sa mission de vie,  il faut déjà être en contact avec son âme, et avec son intériorité. Il faut déjà s'accorder des temps d'écoute de soi.

En ce moment ce que je constate, par exemple c'est beaucoup à travers des voyages intérieurs que les personnes arrivent le mieux avoir des visions, des étincelles de leurs missions d’âme.

Parce qu'à ce moment-là, ils sont dans un état de disponibilité, d'intériorité, d’écoute intérieur qui peuvent les amener à s'ouvrir, à percevoir sous le tumulte des pensées et la course de la vie quotidienne.

 Souvent, je remarque, par exemple dans mes programmes, je guide les personnes dans des voyages intérieurs pour contacter leurs missions de vie. Très souvent ce qui leur revient, ce n’est pas forcément ce qu’elle avait en tête au départ.

 

Nathalie : Donc on serait presque un peu trop pollué dans le quotidien pour pouvoir se mettre au contact de cette mission pour certains en tout cas.

 

Sophie :  Oui, et peut-être pas si disponible et à l’écoute de nous-mêmes.  

On parlait des injonctions, tout ce qu'on peut recevoir de notre environnement, ça peut être les projets, les rêves de nos parents, mais également les personnes qu'on peut admirer et qui vont nous amener peut-être à nourrir des rêves qui sont pas forcément les nôtres.

J’ai une première clé que j'ai envie de partager également pour aider tous nos auditeurs à trouver des pistes pour leurs missions d’âme :

 C’est de repenser à leurs rêves d'adolescent.

 On  parle généralement surtout des rêves d'enfant. Mais souvent nos rêves d’enfants correspondent justement à des projets par rapport à des personnes que l'on admire.  Beaucoup d’ enfants rêvent d'être comme leur maîtresse, ou d'être pompier, ou d'être chanteuse et cetera.

 C’est au moment de l'adolescence que nos rêves plus individuels vont pouvoir commencer à émerger.Il y a une poussée de l'âme au moment de l’adolescence qu’on peut écouter ou pas. C'est souvent à ce moment-là que nos premières aspirations en lien avec notre âme peuvent commencer à émerger.  

Mon conseil serait de repenser à ce qui vous faisait rêver quand vous étiez adolescent.

Moi, quand j'étais adolescente mon rêve c'était d'être journaliste.

 Pourquoi journaliste ? Parce que ce qui me faisait rêver, c'était l'impact que pouvait avoir les journalistes sur les consciences.

 Alors je formulais pas du tout de cette façon quand j'avais 14 ou 15 ans, mais avec le recul, je me rends compte que c'est vraiment ça que j’avais dans mon cœur et dans ma tête.

C’était de pouvoir avoir cette influence, ces prises de conscience que je pouvais amener en étant journaliste.

Et puis en grandissant, en faisant surtout mon premier stage de journalisme, je me suis rendu compte que les choses n'étaient pas aussi idéales que je pouvais le rêver.

J’avais l’impression que c'était un monde de loups et moi j'étais une biche.

 Finalement, j'ai bifurqué vers autre chose, vers les ressources humaines .

Ce dont je me rends compte aujourd’hui, c'est que ce qui me faisait rêver pendant mon adolescence, c'était avoir cet impact sur l'évolution des consciences et je l’ai  traduit avec ce que je connaissais à l’époque qui était être journaliste, parce qu’enfant, j’avais un oncle qui était journaliste et que j'admirais.

 

Nathalie : Ce qui est passionnant dans ton parcours, c’est que aujourd'hui tu influences aussi positivement les êtres à travers un autre métier que celui de journaliste.  La vie a mis sur ton chemin des signes pour te remettre au contact de cette mission que tu avais, à la fois de canaliser des énergies subtiles, et puis transmettre de vraies informations pour l'humanité et pour le parcours de chacun. Alors est-ce que finalement, quand on commence à se mettre un petit peu comme dans ton parcours en lien avec cette mission d’âme, la vie pose des signes sur le chemin ?

 

Sophie : Absolument, quand on commence à se mettre sur ce chemin, et c’est encore plus fort si on le demande.  

J’ai reçu un mail, Il y a quelques jours d’une de mes stagiaires et qui me disait justement qu’elle avait demandé à ses Guides : « éclairez- moi, donnez-moi des signes sur ma mission d’âme ».

Dans les jours qui ont suivi, elle a eu plein de coups de fil d’ amis et de personnes qu'elle connaissait moins qui l’appelaient pour lui demander des conseils.  Elle m’a  dit « à chaque fois, j'ai senti justement que j'étais complètement inspirée dans ce que je leur transmettais. ».

 Ça l’a vraiment encouragée dans le fait que dans sa mission d’âme, il était juste qu’elle se dirige encore plus puissamment vers l’accompagnement.

 

Nathalie :  La synchronicité est finalement des espaces où les anges, nos Guides, ou notre Guide intérieur nous permettent de cheminer, de trouver des signes et de commencer à avancer sur le chemin de cette mission ?

 

Sophie :  Exactement. Pour encore donner quelques exemples personnels, c'est vrai que j'ai eu une série de signes pour me pousser sur ma voie.   

Au départ, j'étais dans les ressources humaines. J'ai toujours eu un appel très fort vers la spiritualité, le développement personnel, mais par exemple être canal, ça je n’imagine pas du tout que ça pouvait être pour moi.

 Puis, un jour j'étais dans un groupe de méditation, il y avait une personne, elle-même était canal et qui a commencé à canaliser.  J’ai posé une question par rapport à un inconfort que je vivais. Les anges canalisés m’ont dit : « Vous accueillez vous même des anges dans votre couronne. Et il est urgent que vous démarriez le processus, cela allègerait grandement votre couronne, et cela allégerait grandement ce que vous appelez souffrance, vous connaissez des personnes pour vous guider dans ce processus, commencez, allez-y.

 Après ça, il y a des tas de personnes qui sont venues spontanément vers moi pour commencer à recevoir cette guidance.

J’ai eu d'autres signes pour me dire qu'il fallait que je transmette, que j'enseigne, ça a été constant et je crois que les signes arrivent d'autant plus qu'on se met en route également.

Ce que j'ai pu constater, c’est que vous faites un pas et c'est quand vous faites ce premier pas, qu’il y a un autre signe qui arrive.

C'est vraiment un pas à la fois, car notre mission d’âme nous est rarement révélée dans son ensemble..

J'ai commencé par être thérapeute, et ensuite il m'a été demandé d'enseigner.

Aujourd’hui, c'est l'enseignement qui a pris le plus de place.

 J'étais très résistante à internet et pareil, des signes sont venus pour me pousser à aller davantage sur internet.

 

Nathalie : Oui, c'est intéressant parce qu'on peut croire avoir trouvé notre mission d’âme, par exemple tu seras thérapeute et puis tout le reste de sa vie rester sans continuer d’évoluer.  En fait, il faut bien comprendre que la vie nous fait évoluer constamment.

 Donc, là c'est intéressant ce que tu dis, parce que tu as commencé par avoir des apprentissages, puis aujourd'hui après avoir écrit des livres, proposé des formations cette mission évolue.

Moi j'ai commencé mon métier de journaliste radio à 19 ans ce qui peut paraître très jeune pour la plupart, parce que j'étais au contact de cette fulgurance qui me poussait à être là où je devais être et à croire en moi aussi.

Mais sur le chemin, ça évolue et je me vois faire encore des choses différentes plus tard.

 En tout cas d'être toujours au contact de ce qui a du sens pour moi, et de cette envie de transmettre à cette humanité, peut-être, de beaux messages de continuer à mettre des gens en lumière. Mais cette mission évolue avec le temps, c’est important peut-être de l'expliquer aux gens.

 

Sophie : Complètement, j’aimerais ajouter ce qui est important, c'est qu’une mission d’âme contrairement à ce que certaines personnes pensent ne se résume pas à une profession..

On peut la transmettre à travers de nombreuses activités,  je dirais même quel que soit notre métier.

Dans les vidéos que j'offre gratuitement sur mon site, sur comment découvrir et accomplir sa mission d’âme. je donne cet exemple d’une personne dont la mission d’âme peut être de transmettre la guérison, qui va être médecin et complètement à côté de sa mission d'âme, parce qu'il va transmettre une vision très mécaniste, de la médecine sans être réellement dans l'énergie de la guérison.

 Puis il peut y avoir à côté une autre personne qui est commerciale et qui dans la façon dont elle va transmettre à travers son métier, va diffuser une énergie de guérison.

 

J’ai reçu un témoignage très émouvant, d'une personne, Marie Christine qui après avoir vu cette vidéo, m'a dit que ça avait été une véritable révélation pour elle. Elle m'a raconté un peu son parcours en me disant que quand elle était plus jeune, son rêve, c'était d'aller sauver les enfants en Afrique.

Elle a préparé médecine et elle est arrivée trois places après la liste limite de personnes admises.

Elle était terriblement déçue. Et puis comme elle avait quand même eu de bons résultats,  par une équivalence, elle a pu faire une maîtrise en biochimie.

Ensuite, par les hasards de la vie, on lui a proposé un travail de technico-commercial dans une entreprise de biochimie.

Ce n’était pas vraiment ce dont elle rêvait, mais elle venait de se marier, elle avait besoin de gagner sa vie, donc elle a fait ça.

Puis, elle commence à travailler sur elle et à découvrir les soins énergétiques. Elle décide de se former en soins énergétiques.

Au bout de quelques années, elle quitte son travail pour faire des soins énergétiques en pensant que tout irait bien.

Patatras, elle s'est cassée le bras et elle n'a pas pu continuer d’exercer. Ça l’a mis dans une grosse difficulté financière.  

Heureusement un de ses anciens collègues lui a proposé de l’embaucher dans une nouvelle société qu'il avait créé. Elle a réintégré un travail de technico-commercial en essayant de transmettre le meilleur d'elle-même. Elle avait quand même des regrets en se disant qu’elle avait peur quelque part d'être passé justement à côté de sa mission de vie.

Puis là-dessus, elle arrive presque à la retraite et écoute Il y a quelques semaines cette vidéo où je transmets justement cet exemple  qu'on peut être dans l'énergie de guérison même en étant commercial.

Elle m’a  raconté : « Quand tu as dit ça, j'ai eu vraiment l'impression que tu t’adressais à moi » .

 Une semaine après ses collègues organisent une fête pour son départ à la retraite.

 Ils lui remettent à cette occasion un livre d'or où ils avaient demandé à tous ses clients de lui envoyer un petit mot.

Marie-Christine a découvert en pleurant ce qu’elle n'aurait jamais imaginé : Beaucoup de clients ont écrit qu’elle leur avait apporté quelque chose de l'ordre d'une guérison intérieure.  

Ils ne le disaient pas forcément avec ces mots là, mais ils parlaient de ce qu'elle leur avait amené profondément bien au-delà d'un travail de commercial.

  Elle m'a dit : « à ce moment-là j’'ai reçu le plus beau cadeau de ma vie, j’ai eu l'impression que toute ma blessure de non reconnaissance était guérie.Et le lendemain je me suis réveillée en me disant que si je  mourais maintenant, j'aurais l'impression que ma mission est accomplie. »

 

Nathalie :  Ça laisse sans voix.  J'adore parce que les auditeurs ne te voient pas Sophie, mais comme tu es toujours très sensible les larmes coulent sur son visage.

En effet, c'est une histoire qui est magnifique et j’imagine qu’à travers ta mission d’âme à toi, tu as permis à cette femme de se mettre au contact de ça, c’est beau aussi.  

Finalement, ce n'est qu'un cercle vertueux pour l'humanité.

J’ai souvent cette idée qu'on doit être la personne au bon moment pour les autres, parfois on peut influencer un parcours de vie, qu'on peut changer la destinée, ou même simplement la journée d'une personne avec un sourire ou avec une parole ou avec un peu de bienveillance.  

Je suis la première à avoir eu et toujours voir les bonnes personnes au bon moment sur mon chemin pour m'aider à cheminer. On peut devenir ces bonnes personnes pour les autres. Finalement, c'est peut-être ça d'être tous au contact de nos missions, c'est d'être dans notre épanouissement, dans la joie, dans notre bienveillance, dans notre rayonnement et de pouvoir ouvrir notre cœur aux gens qui croisent notre chemin et ça c'est magnifique.

 

Sophie : C’est ça, ça veut dire que la mission d’âme, ce n'est pas un devoir, je dirais ça n’est pas un sacrifice.

 Il y a une autre de mes clientes qui m'a écrit en me disant que la  révélation pour elle avait été de prendre conscience à travers son travail sur sa mission d’âme qu’elle n'avait pas à se sacrifier. Elle me disait «  Ça peut paraître drôle, mais moi j'ai toujours cru que pour réaliser ma mission d’âme, il fallait que je me sacrifie et que si je ne le faisais pas, quelque part j'étais égoïste. »

 Réaliser notre mission d’âme, c’est  mettre en œuvre, en mouvement ce qui nous fait vibrer, ce qui est source de joie, ce qu'on a du plaisir en fait à incarner, à partager, ce qui correspond aussi à des facilités en nous. Parce qu’on a aussi les qualités, les talents en lien avec notre mission d’âme.

 

Nathalie :  Après, il y a des gens qui quelque part se sacrifient sur le chemin, alors je ne sais pas si on peut appeler ça sacrifice par exemple pour une destinée religieuse. Donc, ce n’est peut-être pas le sacrifice parce que certains sont tellement en alignement avec ça, que le fait de ne pas fonder une famille, ou de ne pas avoir une personne à leurs côtés, ce n'est pas dérangeant sachant qu'ils ont une relation à Dieu qui est magnifique.

Mais il peut y avoir cette idée que quand on se met au service de la vie, il va falloir peut-être sacrifier des choses qui sont très terrestre pour aller vers une élévation. Il y avait beaucoup de gens qui se perdent un peu là-dedans en disant, il va falloir que je mette de côté des choses qui m'apporte du bonheur, mais qui leur semblent finalement moins importantes que ce chemin spirituel et d'élévation.

 

Sophie :  Je dirais que si on est vraiment aligné avec notre mission d’âme, ce n'est pas un sacrifice en terme de souffrance.

Ca peut être un renoncement, mais je dirais  renoncer pour avoir quelque chose qui vous nourrit encore plus.

 Comme quand  j'étais petite, je me souviens, j'adorais les livres avec des images. Et puis un jour on m'a offert mon premier livre sans images.  J’étais extrêmement déçue parce que ce que j'aimais c'était les livres avec des images. Finalement, j'ai découvert que dans les livres sans images, les histoires étaient beaucoup plus fournies, c'était beaucoup, plus exaltant, et j'ai eu encore beaucoup plus de plaisir.

 Ce que je veux dire par là, c'est qu’on peut être amené à laisser derrière nous, ou à renoncer à des choses qui pouvaient nous paraître importantes à un moment donné, mais c'est pour aller vers quelque chose qui va nous nourrir, nous inspirer, nous apporter encore plus de joie.

 

Nathalie : On peut rencontrer cela dans un parcours amoureux. On se dit quand on quitte une personne, jamais je ne retrouverais ce que j'ai pu vivre.  Finalement, le chemin nous montre l’inverse, c'est à dire qu'on a quelque chose qui nous convient encore plus.  

Le bon aspect du renoncement, c’est quand la vie nous met juste face une situation où ça ne marche pas, c’est à dire que j'ai vraiment ce sentiment que la vie ne punit pas. Elle me donne au contraire des opportunités d'aller encore davantage vers ma mission d'âme, en tout cas vers moi-même.  Et si on pose cette lecture là sur le quotidien, sur les signes de la vie, on est juste à son écoute bienveillante.  C’est à dire que la vie ne nous prive pas, elle nous donne l'opportunité d'avoir peut-être mieux ou ce qui nous convient davantage.  Ça c'est important de le rappeler.

 

 Sophie :  Oui, ce que j'aimerais également ajouter par rapport à ce que tu viens de dire, Nathalie, qu’un certain nombre de personnes dans ce domaine spirituel pensent peut-être qu’il est nécessaire de renoncer à un des plaisirs terrestres, ou une vie de famille… Je dirais ce n'est plus le cas, aujourd'hui dans les nouvelles énergies.  

Les êtres de lumière que je canalise ont insisté  là-dessus à plusieurs reprises.

 Ils nous disent que maintenant il n'y a absolument plus besoin de vivre comme dans un ashram ou d'entrer dans les ordres pour pouvoir être en contact avec les plans supérieurs de conscience aux anges, les Guides …

C'est quelque chose qui est accessible pour chacun de nous dans notre vie quotidienne, en étant intégrés dans une vie sociale, avec une vie professionnelle, avec une vie éventuellement familiale.  

Par contre, ça va quand même demander un travail sur soi, de la pratique. C'est comme un art.

un pianiste par exemple, doit quand même faire pas mal de gammes pour pouvoir jouer de belles mélodies.

 C’est donc accessible, mais ça va être à chacun de s'engager sur ce chemin, d’abord envers soi et puis également avec une pratique.

 

Nathalie : En intégrant tout ce que nous sommes, et puisqu'on a répété depuis le début de l'émission que la joie et l'enthousiasme qu'on peut dégager, c'est tellement inspirant pour les gens qui nous entourent. Il ne faut absolument pas se priver de ce qui nous fait du bien au contraire, cela va nous rendre encore peut-être plus présent à notre mission d’âme.

 

Sophie : Oui. D’autant plus que selon moi, c'est un chemin d’unité.

 Accomplir ma mission d’âme, c’est aussi d'être en unité avec tous les aspects de moi.  

Je ne peux pas être en unité avec tous les aspects de moi si je vais rejeter un aspect qui me fait du bien, qui me rend heureux.Et cela peut passer par se faire un bon repas, boire du bon vin, être avec les gens qu'on aime, faire l'amour. ..

 Après, c'est la façon dont je vais le vivre : Je peux déguster un bon verre de vin, ou me rendre ivre mort .  L’énergie ne va pas être la même.

 

Nathalie : Tout à fait. on peut pour sa mission d’âme se mettre en talons aiguilles et en jolies robes. C'est important aussi de partager ça, après libre à chacun de se vêtir comme il le souhaite.  

Dégager une image dans lequel on est en accord,  porter des vêtements qui nous rendent beau, c'est important aussi pour certains.  

Ça va les rendre encore plus présent à leur mission d’ame.  

Puis pour d'autres, ça ne va avoir aucun intérêt et tant mieux pour eux si ça ne leur génère aucune joie. Il y a vraiment les deux aspects et je crois que ce monde spirituel est en train d'évoluer, je trouve que les jeunes sont de plus en plus au contact de ces questions-là.  Notamment sur la quête de leurs missions d’âme, je vois qu’à la radio, on a parfois des gens qui téléphonent et qui ont moins de 20 ans.Donc c'est incroyable d'avoir des jeunes de 18 ans qui peuvent nous appeler pour dire : « J’ai telles questions sur mon évolution, sur mon âme ».

 

J'aime le travail que tu proposes Sophie parce que tu permets vraiment que ça puisse être accessible, compréhensible.

Comme c'est en vidéo, finalement les gens dans toute la France, voire dans le monde entier peuvent y accéder.

Pour savoir plus sur votre mission, je vous offre une série de 3 vidéos gratuites sur comment découvrir et accomplir votre mission d’âme.

 

Découvrez les clés pour trouver et réaliser votre mission d’âme afin de donner plus de sens, de joie et de fluidité à votre vie